Dieu se révèle dans des expériences humaines trop radicales pour qu’on les maîtrise.

Ce ne sont pas d’abord les « propositions de foi » de l’Église qui touchent les catéchumènes, mais l’Esprit Saint.

Voilà bien la vraie question : le christianisme n’est pas une morale mais une expérience, et la morale découle de l’expérience.

Beaucoup de nos contemporains progressent en suivant l’étoile d’une expérience spirituelle personnelle qui les a mis en route, et ils cherchent des guides pour continuer le chemin.

Martine, qui n’a rien d’une bigote, a rendu publiquement « un grand hommage à Marie ».

Une expérience mystique doit faire l’objet d’un discernement pour être relue, recadrée et authentifiée.

Accueillir et écouter Qui dit expérience spirituelle, dit attention et accompagnement de ce que chacun vit, comme nous l’avons vu faire par l’Eglise, de façon heureuse avec les adultes qui demandent le baptême. Si les catéchumènes se sont sentis à l’aise dans l’Eglise, c’est parce qu’ils ont (…)

Le parcours des catéchumènes a un goût d’Évangile. C’est l’appel de Jésus aux apôtres : « Viens et suis-moi. » C’est l’invitation que Jean-Paul II répète à toutes les journées mondiales de la jeunesse, en proposant aux jeunes rien moins que d’être des saints, et en leur assurant que « (…)

Que l’on ait ou non la foi, on ne peut que reconnaître la force du spirituel et son interaction avec toutes les composantes de l’humain.

Les Nouveaux Convertis de Monique Hébrard aux Presses de la Renaissance : Enquête sur ces adultes qui demandent le baptême.